사이드바 영역으로 건너뛰기

Julien Clerc, Ce n'est rien...

Julien Clerc - Ce n'est rien (Etienne Roda-Gil/Julien Clerc). 1971
 
Ce n'est rien
Tu le sais bien
Le temps passe
Ce n'est rien
Tu sais bien
Elles s'en vont comme les bateaux
Et soudain
Ça revient
Pour un bateau qui s en va
Et revient
II y a mille coquilles de noix
Sur ton chemin
Qui coulent et c'est très bien
Et c'est comme une tourterelle
Et qui s'éloigne à tire d'aile
En emportant le duvet
Qui était ton lit
Un beau matin...
Et ce n est qu'une fleur nouvelle
Et qui s'en va vers la grêle
Comme un petit radeau frêle
Sur l'Océan...
Ce n'est rien
Tu le sais bien
Le temps passe
Ce n'est rien
Tu sais bien
Elles s'en vont comme les bateaux
Et soudain
Ça prévient
Comme un bateau qui revient
Et soudain
Il y a mille sirènes de joie
Sur ton chemin
Qui résonnent et c'est très bien
Et ce n'est qu'une tourterelle
Qui revient à tire d'aile
En rapportant le duvet
Qui était ton lit
Un beau matin...
Et ce n'est qu'une fleur nouvelle
Et qui s'en va vers la grêle
Comme un petit radeau frêle
Sur l'Océan...
Ça prévient...
Comme un bateau qui revient
Et soudain
Il y a mille sirènes de joie
Sur ton chemin
Qui résonnent et c'est très bien
Et ce n'est qu'une tourterelle
Qui reviendra à tire d'aile
En rapportant le duvet
Qui était son nid
Un beau matìn
Et ce n'est qu'une fleur nouvelle
Et qui s'en va vers la grêle
Comme un petit radeau frêle
Sur l'Océan...

  

'잡기장 2009년 09월 12일 23:59' 을 날짜 변경 함, 대문에 걸어둘려고 (괜한발걸음에노래나한곡.. 감사).

어제-오늘-내일이 '프랑스 공산당 여름학교'(Fête de l’Humanité) 기간 이라는데(*), 내일 오후에는 쥴리앙 끌레르(끄)(Julien Clerc, 1947~ ; 본명 Paul-Alain Leclerc)가 11년 만에 처음으로, 환갑이 넘은 몸으로, 70년대 공산당이 잘나가던 시기를 회상하며, '공산당 축제장'의 무대에 다시 나온다고 한다. 그래서 뤼마니떼(l'Humanite)에서 특별 인터뷰를 한 모양이다. 휴일에 휴식삼아 기사를 읽으면서 함께 들을 노래도 두 곡(71, 82년 곡) 퍼와본다. 

기사에 의하면, 끌레르(끄)의 할아버지는 공산주의자였고 아버지는 골리스트(샤를러 드골(Charles de Gaulle, 1890~1970) 주의자, 즉 국가-민족주의자) 였는데, 둘 중에 누구를 더 존중한다고는 할 수 없다고 그는 말한다. 그러나 어린 시절에 부모가 이혼을 하여 끌레르(끄)는 자기 아버지와 빠리 근교의 부르조아 동네에서 살았고(아버지는 다시 재혼을 하여 배다른 동생이 다섯명이나 함께 살았다고...), 오갈 데 없는 어머니는 욕실도 없는 빠리의 허름한 할아버지의 아파트에서 얼마간 머물다가 공산주의자 할아버지가 남불(Nice)에 아파트를 하나 마련해 줘서 그리로 떠났다고... 주말마다 어머니를 보러 먼 길을 다닌 기억과 힘든 어머니에 대한 감상이, 아마도, '여자... 나는 당신을 사랑합니다(Femmes... je vous aime)'라는 그의 대표곡에 애절하게 담겨있는 듯하다(맨 밑에 노래 있음).

(*) 여기에 대한 다른 참조물: Tosel, 2009) Le marxisme... : http://blog.jinbo.net/radix/?pid=269

 

Fête Huma chanson

Julien Clerc, un retour en émotion

Après onze ans d’absence, le chanteur s’apprête à célébrer ses retrouvailles dimanche avec le public de la Fête de l’Humanité. Un concert qui s’annonce porteur d’émotion où il promet d’interpréter ses plus grands succès.


Julien est heureux car il s’apprête à retrouver le public de la Fête de l’Humanité, après onze ans d’absence. Demain sur la grande scène, il sera à l’origine d’un voyage tout en douceur majoritairement composé de ballades, registre où il excelle particulièrement. De Femmes je vous aime, Ma préférence aux chansons (la Jupe en laine, Restons amants) au charme romantique de son dernier album Où s’en vont les avions, il promet d’interpréter ses plus grands succès « un défilé des chansons que les gens aiment depuis des années », confie-t-il. Depuis quarante ans, Julien accompagne nos vies grâce à un répertoire aux textes sensibles qui résonnent comme autant d’hymnes à la beauté des sentiments. Il a su nous faire réfléchir sur nous, la société en cherchant à être « utile à vivre et à rêver » selon le mot et manifeste artistique de feu Étienne Roda-Gil, parolier complice à la plume flamboyante, qui voyait en lui un artiste « porteur de la notion d’espérance ». Jolie formule qui, aujourd’hui encore, fait écho à nos rêves d’inventer un autre monde. Passeur de bonheur et de tendresse, grand mélodiste et chanteur éminemment populaire, Julien a rendez-vous dimanche avec ses nombreux(ses) admirateurs(trices) à La Courneuve. Cela promet de beaux moments de ferveur collective.

 

Vous êtes passé à trois reprises sur la grande scène en 1976, 1983 et 1998. Doit-on y voir une fidélité de votre part, une affection particulière envers le pubic de la Fête de l’Humanité ?

Julien Clerc. Ma mère était encore vivante en 1998. Ce doit être le dernier concert qu’elle a vu alors qu’elle était déjà bien malade. On lui a mis une chaise en coulisse et elle a pu assister au spectacle. C’est l’un des premiers grands rassemblements pour lesquels j’ai chanté. Je me souviens de toutes ces fêtes du Parti dans les années 1970. Il y en avait beaucoup dans le Sud, comme à Alès, à Gémenos et la fête de la Marseillaise où j’ai chanté encore récemment. J’ai toujours apprécié le fait que même si on chantait sur la scène du meeting, il n’y avait pas d’entreprise de récupération politique. Je garde le souvenir de grandes rassemblements populaires et notamment de la Fête avec Charlebois. Ce devait être en 1983 où nous avons fait un spectacle en commun. C’était l’année du Boeing de la Korean Air lines dont on avait dit qu’il avait été descendu par les Soviétiques. On a commencé à se mettre sur les freins. On n’a pas fait une déclaration mais une minute de silence au milieu du show. C’était au tour de Robert de chanter. J’étais dans ma loge quand j’ai perçu un silence. Je me suis précipité sur scène et me suis mis à côté de lui pour observer une minute de silence. Il ne m’avait pas dit les choses explicitement, simplement qu’il allait faire quelque chose. Je me souviens très bien de ce spectacle-là.

 

Vous parlez souvent de votre grand-père communiste, de votre père gaulliste. En quoi votre histoire familiale a-t-elle influencé votre parcours ?

Julien Clerc. Elle m’a aidé à très tôt relativiser les engagements politiques. Je basais cela sur des êtres humains. J’adorais mon grand-père aussi bien que mon père, deux personnes fondatrices pour moi. Quand on est enfant, on sent les choses. Il n’y a pas l’intellect qui entre en jeu. J’allais d’un monde à l’autre. Mon grand-père habitait un deux pièces dans le 14e arrondissement à Paris, un deux pièces sans salle de bain, avec les toilettes sur le palier. Quand ma mère a divorcé de mon père elle est venue s’installer dans ce petit appartement. Lui était un ancien ouvrier au sol dans l’aviation. Puis il a laissé l’appartement à ma mère pour s’installer à Nice sur le vieux port. Moi, je ne voyais ma mère que pendant les week-ends car j’avais été confié à mon père qui habitait Bourg-la-Reine, une banlieue très bourgeoise, résidentielle dans une ambiance de famille nombreuse puisqu’on était six, mon père ayant eu cinq enfants supplémentaires avec sa seconde femme. Le week-end je disparaissais pour aller voir ma mère. C’était deux milieux complètement opposés car mon père avait épousé, chose rare à l’époque, quelqu’un d’une autre classe que lui. J’ai baigné très tôt dans cette double ambiance, dans cette France où Malraux lors d’un discours au Vel-d’Hiv avait dit : « Il y a les communistes et nous. » Et c’était le cas, à l’époque le Parti devait faire 24 % ou 25 %, avant que de Gaulle ne revienne au pouvoir. Tout cela m’a donné de l’humour. Ainsi, à Bourg-la-Reine, nous n’étions pas spécialement croyants, mais on était catholiques. Il fallait traditionnellement assister à deux messes, celle des Rameaux et celle de Pâques ou de Noël. J’avais été baptisé. Mais comme de l’autre côté mon grand-père, c’était sa génération qui voulait cela, devait être un stalinien pur et dur, quand je parlais du petit Jésus, il me disait que tout cela c’était des conneries. J’ai vécu dans cette ambiance-là durant toute mon enfance.

 

Vous avez des origines guadeloupéennes par votre grand-père maternel. Avez-vous été sensible au mouvement de lutte de cet hiver aux Antilles ?

Julien Clerc. C’est une chose que j’attendais depuis longtemps. C’est Salut les Copains qui m’avait payé le voyage. J’avais vingt ans et ma vision des Antilles était une vision fantasmée de l’enfance. Cela passait par le physique de mon grand-père, qui était un grand et bel homme, son accent créole, la cuisine et la famille qui débarquait en métropole avec des produits de là-bas. Quand je suis arrivé, c’était en 1968-1969 et il y avait déjà des mouvements. J’avais un jeune cousin qui descendait dans la rue tous les jours. Après, j’y suis retourné avec Philippe Lavil où on louait tous les ans une maison de sa famille. Là, on était en plein dans Békéland. J’étais parti avec Momo (Maurice Vallet, un des premiers paroliers de Julien Clerc - NDLR) qui s’engueulait tous les jours avec les cousins de Philippe leur disant que c’était des esclavagistes. On ne peut pas ne pas se rendre compte de cela quand on va aux Antilles. En fait, dans mon fantasme, être descendant d’esclaves, c’était un plus. Je ressentais plein de choses. Très rapidement, ma religion a été faite. Je pense qu’il y a à trouver une nouvelle façon de fonctionner là-bas. Certains disent qu’on est là-bas dans une position post-colonialiste. Ils ont raison sans doute. Il y a un très bon livre qui s’intitule les Codes noirs avec un formidable prologue de Christiane Taubira. Un truc qu’il faut absolument lire et dans lequel elle explique très bien ce que peuvent ressentir les gens d’aujourd’hui qui sont descendants d’esclaves.

 

Vous donnez l’impression d’être quelqu’un de doux, d’aimable en général dans la vie. Vous arrive-t-il d’avoir envie de vous révolter ?

Julien Clerc. Bien sûr que j’ai des révoltes. Quand on touche aux enfants, l’injustice… Je n’ai pas la fibre de quelqu’un qui a des engagements pour mettre ces révoltes en avant. Mais, la poésie est aussi un engagement. Je pense que certains grands textes, en particulier d’Étienne Roda-Gil, font leur part de travail dans la prise de conscience générale.

 

De ce point de vue, la chanson Utile (à vivre et à rêver) a été perçue comme très politique…
Julien Clerc. Ça, c’est une magnifique profession de foi de l’artiste, je trouve. Moi, mon rôle a été toute ma vie de mettre en musique de bons textes et si possible de grands textes. Mais Étienne en a écrit plein pour les gens qui savent écouter. Poissons morts, par exemple, est une chanson écologiste avant l’heure. Tout y est dit, en termes un peu baroques comme le faisait Roda-Gil. Comme cette chanson l’Assassin assassiné écrite par Jean-Loup Dabadie sur la peine de mort. Moi, ce qui m’intéresse, c’est d’écrire de bonnes chansons. Il peut y en avoir d’excellentes qui sont des professions de foi, mais il ne faut pas mettre, à mon sens, la charrue avant les bœufs. Cela doit d’abord être une bonne chanson et éventuellement une profession de foi.

 

Étienne Roda-Gil disait que vous « portiez en vous la notion d’espérance »

Julien Clerc. Je ne savais pas. C’est joli. C’est vrai que c’est plus mon emploi certainement. Je chante depuis quarante ans. À l’époque, je ne saisissais pas tout. J’y allais au sentiment, à l’instinct. Je ne regrette pas, durant toute ma vie, d’avoir été difficile sur le choix de mes textes. J’ai eu de la chance puisque Roda a mis la barre très haut dès le départ. Du coup, aux autres, j’ai beaucoup exigé d’eux.

 

En tant qu’interprète, comment faites-vous pour faire vivre une chanson, pour vous fondre à ce point dans les textes de vos auteurs ?

Julien Clerc. Je ne suis pas qu’un interprète, ce qui fait que c’est plus facile pour moi parce que je mets le texte en musique. Ainsi, il devient à moi. Quand je mets en musique des textes de poètes connus ou anciens comme les Séparés, de Marceline Desbordes-Valmore, je cherche à faire d’un poème une chanson. Mettre trois ou quatre accords en dessous d’un poème et le dire, pour moi ça, c’est une escroquerie. Ce qui compte, c’est de ce poème en faire une chanson de manière qu’une fois qu’on le lira ce poème, on ne pourra plus jamais s’ôter la musique de la tête. Brassens, c’est l’exemple. Quand il compose à partir du poème de Victor Hugo Gastibelza l’homme à la carabine, immédiatement on a l’air dans la tête. Pour moi, il faut que le texte soit mémorisable à travers la musique. Roda-Gil disait d’ailleurs toujours : « Une chanson, c’est un texte, une musique et une voix ». Il avait raison. C’est pour cela que c’est si difficile de faire un disque de reprises, chose très prisée aujourd’hui. Parce que derrière, un grand interprète qui a chanté les notes au bon endroit, il est bien difficile d’inventer quelque chose de neuf.

 

Au regard des vos chansons des débuts, la Cavalerie, la Californie et leur rythmique assez tonique, n’avez-vous pas l’impression, avec le temps, d’avoir composé des chansons de plus en plus mélancoliques ?

Julien Clerc. Dans mes disques, j’essaie toujours qu’il y ait moitié, moitié. Mais ma nature me porte plus facilement à écrire des choses mélancoliques. Les trucs gais, me demandent plus de travail. Je crois tout simplement que c’est plus facile de faire des ballades surtout pour un claviériste. Le pianiste, de par même la sonorité de son instrument, a une tendance à écrire plus facilement une ballade. C’est une évidence. Ainsi, le guitariste, qui a à sa disposition beaucoup plus de suites harmoniques, sera souvent beaucoup plus up-tempo. Chez un pianiste, les suites harmoniques sont par définition plus nostalgiques. Chopin n’est jamais loin.

 

Quand vous chantez Femmes, je vous aime, vous sentez-vous portez par l’amour de votre public féminin ?

Julien Clerc. Tout à fait. Les femmes, m’ont permis de survivre dans la mémoire des familles. À une époque je disais qu’elles avaient mis du Julien Clerc dans le biberon de leurs enfants, mais c’est un peu cela. On ne peut pas dire que les hommes me détestent, mais souvent à l’intérieur d’une famille elles sont souvent le moteur. Quand vous chantez depuis quarante ans, vous accompagnez la vie des gens. Aujourd’hui, ce sont plusieurs générations qui viennent me voir.

 

Au fil des ans, comment fait-on pour ne pas être démodé ?

Julien Clerc. J’ai eu la chance d’être passionné par la musique. Mon esprit n’est jamais parti ailleurs. Quand arrive le moment de travailler, je ne suis plus là. Je suis dans mon monde. Je cherche l’inspiration. En France, nous, artistes sommes sur un marché, celui de la francophonie, relativement restreint. Économiquement, je ne pourrais pas vraiment m’arrêter demain. Il y a une notion de vulnérabilité que j’entretiens. Être en danger est une bonne chose pour un artiste. Je crois ainsi que les affres de la création ne vous quittent jamais. Mais, c’est un travail. On écrit des chansons un peu à la manière d’un artisan.

 

Au moment de présenter votre travail au public, comment vivez-vous la scène ?

Julien Clerc. J’ai réussi à l’apprivoiser. Je prends plus de plaisir à être sur scène qu’avant parce que je suis beaucoup plus en contrôle de tout. C’est moins tendu que cela ne l’était, plus décontracté, relâché. Il y a un vrai plaisir, une acceptation du temps qui passe, des gens qui sont là. Mais sur le reste, je suis exactement dans la même attitude qu’au premier jour. Je crois que dès le début, je ne me suis pas trompé sur mon engagement artistique. Être connu n’était pas mon moteur principal. Les signes extérieurs de la « starification » ne m’ont jamais vraiment intéressé.

 

Qu’aimeriez-vous laisser ?

Julien Clerc. Je ne me fais pas beaucoup d’illusions sur la pérennité des chanteurs. Regardez, même des gens aussi proches de nous que Brel ou Brassens, on les entend assez peu à la radio. Je pense que les chanteurs se meurent avec leurs fans. À moins d’avoir un petit jeune qui passe par là et se prend d’amour pour le répertoire et décide de faire revivre tout cela à sa façon. Franchement, ce sont des choses auxquelles je ne pense jamais. Le but, ce n’est pas de laisser une trace dans la vie. On s’engueulait beaucoup à propos de cela avec Étienne. Il me disait souvent « on fait une œuvre quand même ». Moi je lui répondais « arrête, on écrit des petites chansons ». Ce qui ne veut pas dire qu’il ne faut pas être exigeant car le spectacle est une chose sérieuse. Étienne quand il parlait d’œuvre, il pensait certainement à l’idée de laisser quelque chose. Personnellement, il s’agit d’une œuvre vis-à-vis de moi, de mon vivant, de mon temps. Ce me paraît plus important.

 

Entretien réalisé par Victor Hache
Concert grande scène demain à 17 heures.

Album Où s’en vont les avions chez Virgin.

 

 

 

Femmes... je vous aime by Julien Clerc

Album: Femmes, indiscrétion, blasphèmes (1982)

Quelquefois
Si douces
Quand la vie me touche
Comme nous tous
Alors si douces...

Quelquefois
Si dures
Que chaque blessure
Longtemps me dure
Longtemps me dure...

Femmes...Je vous aime
Femmes...Je vous aime
Je n'en connais pas de faciles
Je n'en connais que de fragiles
Et difficiles
Oui...difficiles

Quelquefois
Si drôles
Sur un coin d'épaule
Oh oui...Si drôles
Regard qui frôle...

Quelquefois
Si seules
Parfois ell's le veulent
Oui mais...Si seules
Oui mais si seules...

Femmes...Je vous aime
Femmes...Je vous aime
Vous êt's ma mère, je vous ressemble
Et tout ensemble mon enfant
Mon impatience
Et ma souffrance...

Femmes...Je vous aime
Femmes...Je vous aime
Si parfois ces mots se déchirent
C'est que je n'ose pas vous dire
Je vous désire
Ou même pire
O...Femmes...
 

 

 

진보블로그 공감 버튼트위터로 리트윗하기페이스북에 공유하기딜리셔스에 북마크